Carte blanche
07 sept. 2007Une fille seule en scène Elle porte blouse blanche et "impose" le respect Si nous sommes tous là c’est que c’est nécessaire Il s’agit d’une cure, et pas n’importe laquelle Pour réunir les parts de nos êtres souffrants... Que nous soyons homme(s) Que nous soyons femme(s) Nous n’y couperons pas, muni(e)s de nos fourchettes
C’était une avant-scène proposée, une carte blanche offerte par les Bravos de la Nuit à une troupe invitée. Nous avons eu du mal à mêler le patois, point trop de la région, patois vendéen que nous ne connaissions guère, avec la langue apprise sur les bancs de l’école, mais nous nous sommes pris au jeu ce jour-là proposé, avons fait des grimaces, sans peur du ridicule, avons tiré la langue après l’avoir tournée, sept fois dans la bouche pour qu’elle reprenne couleur(s). Un moment surprenant pour nous inviter à aller voir le spectacle programmé au festival, en soirée. Nous n’y sommes pas allés, mais peut-être oserons-nous plus tard, si l’occasion se présente et que nous sommes invités.
www.bravosdelanuit.com/